• C'est le temps des vacances où l'on se souvient des journées passées entre cousins-cousines dans les années où il n'y avait encore ni télé, ni portables, ni ordinateurs et où l'on courrait, en liberté, par les champs et les bois.

    Ce souvenir d'une journée de vacances (enfants et petits enfants)  est plus récent, mais les cousins-cousines ont quand même bien grandi  ... ils font maintenant des "selfies" et nous les envoient par sms  !

     


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  • Puisque c'est le jour.

    Un moment de musique de ces "drôles" d'années d'avant et après-guerre.

    Le "Caméo-Club" une troupe de musiciens, acteurs et actrices, dans les années 1949/1950 +++ de ma petite ville de naissance ! Je ne m'en souviens pas vraiment, mais mon père et mes oncles jouaient dans cet orchestre.
    Je crois que cela a été pour eux, une heureuse période  d'après-guerre.

     

    Musique !

     C'était ce genre de musique  ... Connaissez-vous le "Lambeth walk" ? 

     

    Premiers jours de l'été sous le soleil, ça fait du bien au moral.
    Agréable week-end en musique !

     

     


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    Sur l'heure des Montres à Gousset, le tic-tac de la pendule de mémère Marthe ou de la vieille horloge à balancier, le présent un instant s'arrête pour rejoindre les objets du passé que je garde précieusement.

    Ils nous racontent des histoires, un peu de la vie de tous les jours, de ceux que nous avons perdus mais pas oubliés.

    "Vienne la nuit, sonne l'heure ...."

     

    Les vieux "papiers"(manuscrits, lettres, documents militaires), les livres de musique (autrefois, les partitions "classique" étaient reliées) appartenaient à Gratien.
    On trouve encore, chez Emmaüs par exemple, des livres anciens pour pas très cher. 

    "Vienne la nuit, sonne l'heure ...."

    Faïence de Lunéville (à droite) - Petite natures morte et paysage peints trouvés en brocante - Les flacons et les deux lampes à pétrole de grand-mère Marie.

    "Vienne la nuit, sonne l'heure ...."

    "Passent les jours et passent les semaines
    Ni temps passé
    Ni les amours reviennent
    Sous le pont Mirabeau coule la Seine

    Vienne la nuit sonne l'heure
    Les jours s'en vont je demeure"

    Guillaume Apollinaire

        


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  •  

     

    En apprenant le décès de "notre" sympathique accordéoniste Yvette Horner, je me suis dit que, cette fois, les "petits bals perdus" c'était bien fini, même si je sais que l'accordéon aura toujours ses amoureux  !

    J'ai retrouvé - mais elle n'était pas si loin - une photo d'un de ces bals de village qui se passaient souvent sous des rotondes. Comme si c'était hier, je le retrouve dans mes souvenirs. Il y a mon grand-père (Gratien) au violon, qu'il changeait suivant les airs joués, pour le saxo alto ou soprano, bien sûr l'accordéoniste, sans oublier le piano, la batterie, la contrebasse et là, j'ai un petit doute, je pense une trompette bouchée. J'ai oublié le nom de tous les musiciens. Je crois que ça devait être dans les années 50/55 ... le micro est d'époque ! 

    Les bals musette ! 

    Et ça tournait, et ça tournait  ! 

     Là, c'était "Marcel" (Le retour des hirondelles)

    et j'ai eu envie, pour Yvette, de ré-écouter ceci :

     

     

     


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  • "L'Eglantine"

    Dans une mesure à grains dont mon grand-père, cordonnier, se servait pour mettre clous et semences.
    Aujourd'hui, je lui ai offert ce bouquet d'églantines.

    "L'Eglantine"

    "Nous avions en courant descendu la colline...
    Sur un buisson foncé luisait une églantine
    Mélancolique fleur sans parfum, ni rayons,
    Qui n'arrête que rarement les papillons.
    "Regardez cette rose ! et comme elle est jolie !"
    M'écriai-je.. "Toujours, fit-il, votre folie !"
    De voir de la beauté quand il n'y en a pas ;
    Ce n'est rien, c'est une églantine." Mais, tout bas,
    Car je ne voulais pas qu'elle puisse m'entendre :
    "Nul bouquet ne la veut, nul parc ne vient la prendre ;
    Elle est seule, elle peut se croire sans beauté...
    Alors moi, tu comprends, j'ai voulu la flatter.

     
    (Rosemonde Gérard, l'Arc en ciel, 1926)
     

    "L'Eglantine"

    Et pour inaugurer ce mois de juin en douceur, j'ai posé, sur le petit bureau ciré, un bouquet de roses anciennes dans le pot en faïence de Lunéville, à côté du peigne à myrtilles, objets qui me rappellent les Vosges et les mois de vacances  d'été  passés en Lorraine avec cousins et cousines.

    Nous allions par les chemins, remplissant nos pots à lait de framboises, de mûres et, dans les bois, nous ramassions, à la main, les  "brimbelles". Il y en avait un parterre, à côté du rocher, juste au-dessus de la ferme et nous  rentrions heureux, la bouche, la langue, les mains toute bleuies !

    Mais il en restait  bien assez pour que les grands-mères,  toujours aux fourneaux, nous en fassent de délicieuses tartes !

    Bonne fin de journée aux promeneurs et promeneuses du Dimanche.

     


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